Le samouraï Kurima Raizo a rempli son devoir, au prix de sa dignité. Il se terre désormais sous un pont, à l'abri des regards, mais voilà qu'il se fait aborder par un homme à tout faire, Yûen Usui.

Yûen dévoilera à Kurima que son travail comporte deux facettes, dont une plus sombre, qui répond à un besoin de vengeance.

Kurima est soutenu par Yûen, et donc caché, afin de lui permettre de trouver sa nouvelle voie. Ce n'est pas sans déplaire aux autres, sur la défensive et dubitatifs de sa réussite.

Bon gré mal gré, Sôji continue de se coltiner Kurima dans sa chambre. De plus, il découvre que le samouraï ne sait pas gérer son argent non plus…

Par le passé, Nio a eu affaire à la compagnie Dôan, qui la considérait comme sa créature, son abomination… Depuis, Yûen l'a pris sous son aile.

Raizo, un artiste méconnu, est finalement admiré pour son autre talent, le dessin. Cela dit, ses instincts de tueur ne sont jamais bien loin…

Nagasaki est envahie par le trafic d'opium, qui ne cesse d'élargir son influence, même chez les moniales bouddhistes.

Yûen conduit Raizo au refuge où il a commencé ses activités afin de lui permettre d'explorer plus amplement cette voie, mais le rônin présente des signes d'incertitude, bien qu'honoré. La vie d'artiste est-elle réellement pour lui ? Confronté à ce choix difficile, il ressasse le passé.

Voilà maintenant que la Chine est impliquée. Maître Liu, un envoyé du commissaire impérial de la dynastie Qing, est à Nagasaki pour tenter d'éradiquer le trafic d'opium.

La réputation des Revenger est désormais en jeu, le syndicat étant sur leur dos. Ce dernier, selon Yûen, connaît l'identité des vrais responsables.

Le trafic d'opium a bon dos, mais les masques tombent petit à petit. Qui est le prochain à voir sa tête coupée ?

Le moment des règlements de compte est arrivé. Çà et là, les combats font rage.