Le couple Flactif et leurs trois enfants ont disparu le 12 avril 2003 dans la station du Grand-Bornand (Haute-Savoie). Le père de famille, Xavier Flactif, promoteur immobilier, avait été l'objet de menaces quelques semaines avant sa disparition. Dans leur chalet sont retrouvés des traces de sang, une douille et des morceaux de dents, ainsi que l'ADN d'inconnu.

En 1991, Pierre Leschiera, un berger, est abattu à Castellar, un village du sud de la France. Alain Verrando et son neveu Jérôme, dont la haine pour la victime était de notoriété publique, sont inculpés. Mais ils sont acquittés, faute de preuves.

La petite Sophia, 7 ans, disparaît le 10 mars 2003 à Brunstatt, dans le Haut-Rhin, peu après la sortie de l'école. Le lendemain, son corps est découvert dans un ruisseau proche du domicile familial. Selon les expertises médico-légales, la fillette aurait été asphyxiée, puis déposée encore vivante dans le cours d'eau, où elle a fini d'agoniser. Très vite, les soupçons se portent sur la mère de la fillette, Tania Parnisari, mise en examen pour homicide volontaire. Elle sera reconnue coupable lors de ses deux procès. Pourtant, elle a toujours nié avoir commis un infanticide.

En 1992, grâce à la ténacité du gendarme Abgrall, le tueur en série Francis Heaulme est arrêté en Alsace. «le routard du crime» sera condamné pour 9 meurtres mais il est soupçonné d'en avoir commis beaucoup d'autres. C'est au détour d'un interrogatoire qu'Heaulme aborde spontanément l'affaire de Montigny Les Metz tout en niant être l'auteur du carnage. Le dossier est réouvert . Patrick Dils va alors affronter deux nouveaux procès aux assises. Qu'a donc bien pu dire Francis Heaulme aux enquêteurs pour convaincre la justice que Patrick Dils n'était peut-être pas le bon coupable ? Qu'un innocent croupissait peut être en prison...

Retour sur l'affaire Omar Raddad, accusé d'avoir tué en juin 1991 une veuve très aisée, Ghislaine Marchal. Celle-ci l'a-t-elle vraiment désigné ? Les preuves sont-elles aussi solides que ce que l'enquête a pu montrer ? La grâce présidentielle accordée à Omar Raddad a-t-elle effacé la meurtrissure ?

Base militaire de Mourmelon entre 1980 et 1987, 8 jeunes auto-stoppeurs disparaissent après avoir croisé la route d'un dangereux prédateur.

Le 12 juillet 2003,Simon Jossimec , est percuté sur le bas-côté d'une route peu fréquentée en Espagne. Témoin du drame, son épouse , Dominique explique à la police qu'il y a eu une anomalie au niveau d'une roue, Simon est descendu, elle n'a rien entendu, seulement vu passer un 4x4. Mais les policiers espagnols tiquent car les roues n'ont aucun défaut, la route est rectiligne, et le sol ne témoigne d'aucune trace de freinage. Ils conservent le pantalon de Simon, sur lequel un large pneu a laissé son empreinte. Puis ils autorisent Dominique à faire incinérer le corps, trois jours après l'accident

«Affaires criminelles» revient sur l'histoire et l'itinéraire d' un meurtrier qui a marqué l'opinion Publique dans les années 80. Son nom : Thierry Paulin. Ce jeune martiniquais a étranglé huit femmes dans le 18ème arrondissement de Paris en Octobre et Novembre 1984. Entre décembre 1985 et juin 1986, il en a tué onze de plus. La particularité de ses assassinats: ils avaient lieu en plein jour. Personnalité complexe aux multiples facettes, il était serveur au Paradis Latin, puis a organisé des soirées privées «à thème» et flambait dans les boîtes de nuit.. La police ne l'a arrêté qu'en 1987

L'affaire Yves Dandonneau est une histoire d'escroquerie à l'assurance-vie, qui a eu lieu le soir du 6 juin 1987 au lieudit « Le col de l'homme mort », dans l'Hérault. Le crime est en partie calqué sur le scénario du film de Billy Wilder Assurance sur la mort.

Le 13 février 2006, Ilan Halimi est retrouvé agonisant le long d'une voie ferrée et meurt peu après son transfert à l'hôpital. Ce jeune homme avait été enlevé le 21 janvier en région parisienne et torturé durant trois semaines. Ses ravisseurs, dont le procès s'est ouvert le 29 avril 2009, se surnommaient eux-mêmes le "gang des barbares". Ils ont cherché à obtenir de l'argent de la famille de leur victime.

Émile Louis, dit « le boucher de l'Yonne », né le 21 janvier 1934 à Pontigny (Yonne) et mort le 20 octobre 2013 à Nancy1, est un tueur en série français. En 2000, il avoue l'assassinat de sept jeunes filles handicapées disparues dans les années 1970 dans l'Yonne, mais se rétracte un mois plus tard. En mars 2004, il est condamné à vingt ans de réclusion criminelle pour viol et torture sur son épouse et sa belle-fille. Il est également condamné pour atteintes sexuelles sur mineures en 1983 (quatre ans de prison) et en 1989 (cinq ans de prison). En novembre 2004, Émile Louis est condamné par la cour d'assises de l'Yonne à la réclusion criminelle à perpétuité pour « l'affaire des disparues de l'Yonne ». Il décide d'interjeter appel.

Le nom de Christian Jambert est indissociable de celui d'Emile Louis. Ce tueur en série a été arrêté et condamné en 2004 grâce à l'enquête acharnée menée pendant près de 20 ans par le gendarme Jambert. C'est un gendarme discret que tout le monde connaît mais dont on ne sait rien. Sauf qu'il a du flair. Au début des années 80, il est le premier à soupçonner Emile Louis, d'enlever et d'assassiner des jeunes filles handicapées de la DDASS. Elles disparaissent l'une après l'autre dans l'indifférence générale. Jambert est lui aussi un gosse de la DDASS. L'affaire des disparues de l'Yonne devient l'affaire de sa vie

Claude Lastennet: le tueur de vieilles dames Entre Aout 1993 et Janvier 1994, un vent de psychose souffle sur le département du Val de Marne.5 personnes âgées sont assassinées en l'espace de 6 mois.. La plus jeune a 77 ans, la plus âgée 92 Ces vieilles dames vivent seules et ne s'aperçoivent pas lorsqu'elles font leurs courses qu'un homme les observe avant de les prendre en filature

Dans la nuit du 11 au 12 février 1997, alors que le carnaval du Portel bat son plein, deux jeunes soeurs, qui devaient retrouver leurs amies, disparaissent.

Dans les années 1990, la police enquête sur les crimes du tueur de l'Est parisien, qui viole et assassine des jeunes femmes. En 1998, à partir des prélèvements effectués sur les scènes de crimes, un laboratoire identifie l'ADN du tueur en série comme celui de Guy Georges, un marginal déjà fiché.

En 1997, la police arrête à Paris Patrice Alègre. Il est soupçonné du meurtre et du viol de cinq femmes mais aussi d'une tentative d'assassinat sur une sixième victime. Or, l'enquête montre qu'il pourrait être responsable d'une vingtaine de crimes survenus en moins de dix ans. Retour sur les circonstances qui ont permis au tueur en série de sévir pendant si longtemps.

L'affaire Godard est la disparition, en septembre 1999, du médecin français Yves Godard, de sa seconde épouse et de leurs deux enfants. Riche en rebondissements, cette affaire d'ordre supposément criminel est l'une des plus mystérieuses de sa période. Les découvertes ont été progressives : traces de sang dans la maison familiale près de Tilly-sur-Seulles au lieu-dit le pont-de-Juvigny dans le Calvados d'abord, puis départ d'Yves Godard et de ses deux enfants sur un voilier de location de Saint-Malo, quelques jours auparavant. Au cours des années suivantes ont été retrouvés sur la côte nord de la Bretagne ou en mer, un canot de sauvetage, des papiers et des cartes de crédit, le crâne d'un des enfants et enfin des ossements d'Yves Godard. Un non-lieu est rendu le 14 septembre 2012.

Patrick Dils, né le 30 juin 1970 à Longeville-lès-Metz (Moselle), est reconnu comme une victime française d'erreur judiciaire. À 16 ans, le 30 avril 1987, il a été inculpé de meurtres sur deux garçons à Montigny-lès-Metz, en Moselle. Le 27 janvier 1989, il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour meurtre2. À l'issue de la procédure en révision, son innocence est reconnue par une cour d'assises le 24 avril 2002. Il aura passé treize ans et trois mois en prison, victime d'une erreur judiciaire pour laquelle l'État français lui a versé 1 146 000 euros (dont 700 000 euros de dédommagements). C'est l'une des plus graves erreurs judiciaires reconnues en France, et c'est la première concernant un mineur condamné pour meurtre à la prison à perpétuité.

Jean-Claude Romand, condamné le 2 juillet 1996 à la prison à vie, a tué sa femme, ses deux enfants, ses parents et son chien en janvier 1993 avant de se suicider en mettant le feu à la maison familiale.

Retour sur la disparition mystérieuse, en 1977, d'Agnès Leroux, héritière d'un casino de Nice. Son corps n'a jamais été retrouvé et même sa mort n'est pas certaine.

Dans la nuit du 20 au 21 mai 1999, quatre Néerlandais sont tués sauvagement dans leur propriété de Monfort, dans le Gers. Les cartes bancaires des victimes ont été dérobées. Plusieurs d'entre elles, utilisées les jours suivants, mènent à un suspect : Kamel Ben Salah. Il clame son innocence, mais est condamné à la perpétuité. Or, des incohérences persistent dans le scénario d'accusation.

Claude et Monique Dunand ont été condamné en novembre 1991 pour avoir séquestré et torturé dans le sous sol de leur pavillon au moins deux jeunes femmes dans les années 80. C'est une des affaires criminelles qui a marqué le département de l'Yonne : celle des tortionnaires d'Appoigny.

"Affaires criminelles» revient ce soir sur l'histoire un homme soupçonné d'être le plus important tueur en série français. L'affaire se passe en Alsace mais déborderait aussi sur la suisse et l'Allemagne. A chaque fois les vctimes sont des vieilles dames dont les meurtres sont maquillés en mort naturelle. Lorsque l'on retrouve les corps paisiblement allongés sur leur lit, sans la moindre trace de violence, personne n'imagine que ces grands mères ont été assassiné. Yvan Keller n'a pas le profil de ces dangereux psychopathes, isolés et refermés sur eux mêmes. Keller n'est certes pas un joyeux luron mais il a une vie sociale.

Enquête sur l'assassinat d'Evelyne Joushomme, 62 ans, par son époux Bruno, étudiant en philosophie, le 28 février 1985. Elle fut retrouvée carbonisée dans leur 2CV.

Alfredo Stranieri (né italien à Girifalco le 30 juillet 19561, naturalisé français en 19822) est un criminel multirécidiviste, surnommé « le tueur aux petites annonces », qui rencontre ses victimes grâce aux petites annonces dans lesquelles il se présente comme un acheteur potentiel de propriétés ou de voitures d'occasion. Il fait disparaître ses victimes et s'approprie leurs biens. Il est condamné à la prison à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux ans le 28 février 2003 pour quatre meurtres et une tentative de meurtre avortée. Il s'était approprié les biens des deux couples qu'il avait assassinés pour les gérer frauduleusement. Il a également tenté d'assassiner un homme qui voulait lui vendre une Jaguar.

En juin 1994, Emilie Tanay, une fillette de 9 ans, meurt foudroyée après avoir absorbé un antibiotique, la Josacine. Immédiatement, le médicament est interdit à la vente et une véritable psychose s'empare du pays. L'enquête disculpe rapidement le laboratoire, les analyses ayant prouvé que le poison a été introduit dans le flacon au tout dernier moment. L'autopsie pratiquée sur le corps de l'enfant révèle des traces de cyanure dans son organisme. L'affaire prend dès lors une tout autre tournure.