Idriss Toma et Claire Caldeira représentent Estelle Lantez, accusée du meurtre de son compagnon violent. La cliente assure avoir agi en état de légitime défense mais très vite, les avocats comprennent que la réalité est tout autre. Nadia Ayad, de son côté, défend M. Garcia, kleptomane compulsif qui multiplie les vols de chaussures. Dans le même temps, Idriss tente de renouer avec sa fille Chloé, le jour de son 20e anniversaire…

Nadia et Maxime Laffargue défendent Jeremy Dutertre, jeune homme au casier judiciaire chargé et accusé d’avoir abattu un épicier pendant un braquage. Jeremy, qui a fait de gros efforts pour sortir de la délinquance et crie son innocence, a toutes les peines du monde à se maîtriser face à un adversaire particulièrement retors : l’avocat général Jacques Kowalski…

Idriss défend avec Claire un de ses amis : Olivier Walter propriétaire d’un hôtel, accusé d’avoir violé une de ses employées. L’affaire se complique sérieusement lorsque la plaignante ne s’avère pas être la seule à mettre le client en cause. Parallèlement, Nadia voit resurgir un ancien flirt dans sa vie quand un homme sollicite son aide dans une affaire de flagrant délit pilotée par les douanes…

Commis d’office auprès de Jessica Guilaume, une femme accusée de trafic de drogue, Maxime retrouve Jacques Kowalski sur sa route. Déterminé à montrer à Nadia qu’il est à la hauteur, il décide d’affronter seul l’Avocat Général… aux risques et périls de sa cliente.

Jeanne Vanhoven signe son grand retour aux assises : elle défend, avec Maxime, David Kerval, romancier atteint de troubles obsessionnels compulsifs, accusé du meurtre de son épouse. Au même moment, Claire assiste Jacqueline Arsena, mère d’une jeune femme tuée par Xavier Durieux, un toxicomane qui vient de déposer une demande de libération anticipée. Idriss, lui, apprend que son état de santé s’est considérablement dégradé…

Tandis qu’Idriss et Nadia se rendent à Paris pour le procès de Carl Roussel (Stéphane Blancafort), l’homme qui a tiré sur Idriss, Claire se retrouve dans l’œil du cyclone : Jacqueline Arsena a commis un meurtre et l’avait prévenue de ses intentions.

Le secret d’Idriss est maintenant révélé, et tout le cabinet sait qu’il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Déterminée à quitter « Ayad, Toma et Vanhoven », Nadia défend, avec Claire, Monsieur Perez, accusé d’avoir tué son épouse, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Geste d’amour ou féminicide prémédité ? De son côté, Idriss se voit proposer un étrange marché pour disculper Chloé.

Idriss défend Monsieur Duval, accusé d’avoir tué l’homme qui tentait de le voler. La légitime défense semble s’imposer, mais les faits et les investigations du juge mettent à mal la version du client. Nadia vient en aide à Alice, sa compagne enseignante, soupçonnée d’avoir frappé un élève de sa classe. La vérité sort-elle toujours de la bouche des enfants ?

Croyant défendre une richissime cliente, Jeanne impose sa présence à Claire dans un procès pour meurtre… sauf que l’accusée est une SDF, miroir très dérangeant de notre possible chute à tous. Nadia tente d’assister une cliente toxicomane désormais enceinte. Mais jusqu’où peut-on aider quelqu’un contre son gré ?

Nadia et Maxime défendent un policier accusé d’avoir provoqué la mort d’un jeune homme en garde à vue. Claire voit débarquer une cliente inattendue au cabinet : sa mère. Chloé retrouve un ami présent le soir de son accident… et dont le témoignage pourrait changer le cours de son futur procès...

Jeanne assure avec Maxime la défense en appel d’un médecin accusé de meurtre. Face à eux : une véritable pointure de la police, à qui Jeanne voue une rancune tenace. Élodie est agressée dans la rue. Le suspect n° 1 n’est autre qu’un client de… Nadia. 

Alors que Nadia vient en aide à un client incarcéré qui veut à tout prix assister à l’enterrement de sa tante qui l’a élevé, l’état de santé d’Idriss devient très préoccupant. Pourtant, et contre l’avis de ses proches, l’avocat souhaite honorer sa promesse de défendre un jeune schizophrène accusé d’avoir tué son voisin de palier. Entre l’avocat et son client, qui est le plus irresponsable ?